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Traitement du psoriasis: «J'ai perdu treize ans de ma vie !»
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Ellipse
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Bonjour mysteryy29,
Enzo est allé consulté un dermatologue hospitalier. Il s' agit très certainement des traitements type methotrexate, biotherapies etc...
Bonne journée
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bonsoir ellipse,
c'est vrai que le comm date de 3 mois...c'est le méthotrexate que j'aurai si la puvathérapie ne marche encore pas cette fois-ci
Ellipse
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Bonjour mystery29
J'espère que tes séances de puva t'apporteront un peu de repis dans la maladie. Mais parfois il faut savoir passer à d'autres traitements quand ça ne fonctionne pas.
Tiens nous au courant de l'évolution.
Excellente journée
Utilisateur désinscrit
Personnellement cela fait 15 ans que je ne prend plus de traitement pour mon psoriasis ( je précise que je ne suis pas un exemple à suivre), mais je suis une petite chanceuse ayant du psoriasis goutte.
J'ai suivi le traitement à base de crème pendant bien 14 ans mais sans vraiment de changement significatif car j'etait totalement recouverte de mes " gouttes". Ce qui m'a vraiment aidé à été la gestion du stress, méthode de respiration et yoga. Et depuis 15 ans mes crises ne sont plus que très légère et peu fréquente (2 à 3 par an).
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@Lincée : super! A part le yoga tu ne prends plus aucun traitement? Moi aussi j'ai depuis longtemps arrêter les traitements.
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Julien
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Julien
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TÉMOIGNAGE - Depuis qu'il a appris l'existence de traitements du psoriasis autres que les crèmes, la vie d'Enzo Simon (Saint-Romain-de-Colbosc, Seine-Maritime) a changé. Son seul regret : ne pas l'avoir su plus tôt.
«J'avais douze ou treize ans lorsqu'une première plaque est apparue sur mon ventre. Mes parents m'ont amené chez le dermatologue qui n'a eu aucun mal à diagnostiquer un psoriasis. Je suis reparti avec une prescription de pommades. Si la plaque est partie avec les crèmes, d'année en année, d'autres sont réapparues ici et là: encore sur le ventre, mais aussi sur les cuisses, les chevilles, les aisselles, les fesses, le front, les avant-bras, etc.
Ce qui me gênait, ce n'était pas seulement le fait que ça se voit, mais aussi les démangeaisons, les saignements, les écorchures et donc les douleurs permanentes pendant les poussées. En outre, s'enduire de crèmes, ça prend du temps (15 à 20 minutes tous les soirs) et comme c'est gras, c'est très désagréable car on en met partout sur les vêtements, dans les draps. Ça a vraiment été l'apothéose quand j'ai passé un concours de la fonction publique car avec le stress, j'en avais vraiment beaucoup. Et dans ce cas, on ne peut pas vraiment dire que les gens donnent dans la délicatesse! Rien que leur regard en dit long. Les remarques ne sont pas toutes désobligeantes, mais parfois, elles montrent l'ignorance des gens.
Une maladie de la peau non contagieuse
Si le psoriasis ne m'a jamais empêché de courir ou de faire de la musculation, il m'a gêné pour aller à la piscine ou pour me déshabiller sur une plage. Comme j'ai une certaine force de caractère et que j'avais déjà une petite copine avant d'avoir des plaques sur presque tout le corps, cela m'a aidé à avoir une vie sociale et amoureuse normale. Et je n'ai jamais cessé d'expliquer que c'était une maladie de la peau non contagieuse, afin de ne plus être traité en pestiféré. Mais le premier contact est difficile!
Finalement, c'est un médecin du travail qui, ne comprenant pas pourquoi je me traitais uniquement avec des pommades depuis treize ans, m'a orienté vers un dermatologue hospitalier. À ma grande surprise, j'ai appris qu'il existait d'autres traitements bien plus efficaces. J'ai commencé un traitement général qui a très bien marché, mais que j'ai dû interrompre en raison d'un début d'infection. Une fois cette dernière soignée, j'en ai repris un autre et je dois dire que ma vie est transformée. Si je témoigne aujourd'hui, c'est parce que plus aucun malade atteint de psoriasis ne devrait encore ignorer que des traitements efficaces existent. Tout le monde doit savoir!»
Psoriasis: La gestion du stress
Comme pour toute maladie chronique, il faut beaucoup s'impliquer pour ne pas se laisser déborder par la maladie: cela signifie de ne pas avoir peur de dire à son médecin qu'une nouvelle gêne est apparue, que l'on souffre - il existe d'ailleurs une échelle d'évaluation de la sévérité du psoriasis, très utile - ou que son traitement est moins bien supporté qu'avant.
Quant au stress, connu pour favoriser les poussées, il faut tenter de le maîtriser grâce à une technique de gestion du stress, quelle qu'elle soit. Le sport en est une et il n'y a aucune raison de l'interdire, bien au contraire. Il y a toujours moyen d'adapter le traitement à l'évolution de la maladie: «On ne guérit pas définitivement d'un psoriasis, mais les traitements, à condition de ne pas être interrompus, permettent de stopper ou de limiter fortement les poussées et leurs conséquences sur la vie quotidienne», conclut le Pr Christophe Bedane (CHU Limoges).
Source : Le Figaro Santé