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Des vêtements connectés pour améliorer le diagnostic de l'épilepsie
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Rochambeau
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@Louise-T mon cas est contraire : après avoir passé 3 mois dans le top du top des hôpitaux allemands, puis 3 mois en neurologie d'un hôpital de banlieue parisienne, dont je ne souhaiterais pas plus d'une semaine au service NETTER 3, À MON PIRE ENNEMI, tellement 2 ou 3 aides-soignants avait pris tout le pouvoir, modifiant nos traitements comme bon ça les arrangeait... (pendant mon séjour, je n'ai JAMAIS vu le chef de service, j'étais seulement suivie par un interne... ) et j'ai appris par le plus grand des hasards que cet hôpital allait être fermé, pour trouver une petite place à l'intérieur d'un hôpital parisien (punaise, il va falloir qu'ils se mettent au niveau...). Je suis allée à ma sortie à un Hôpital de Neuilly (vous ne saurez pas lequel, il y en a plusieurs) où ils m'ont IMMÉDIATEMENT proposé de me mettre sous anti-épileptiques "à titre préventif". mais en y allant mollo, vu les effets indésirables. On en a discuté en famille, et j'ai décidé d'attendre.
Je signale qu'à cet hôpital de Neuilly, où le menu du restaurant fait déjà saliver... j'ai eu rv le lendemain de mes crises = que demander de mieux ? Le bonnet pour enregistrer, j'avais déjà essayé là-bas une quinzaine d'années avant d'être épileptique (pour des problèmes de sommeil) on m'avait juste demandé de noter pendant 24h ce que je faisais (le médecin n'a jamais dû lire un compte-rendu si complet...) et aussi d'écrire quand j'étais en train de manger, parce que ça faussait les résultats.
Moi, on n'a enregistré les résultats que pendant un jour et une nuit. Ça ne fait pas mal du tout. À l'IRM cérébrale qu'on m'y a faite début 2012, il était ÉVIDENT que je deviendrais épileptique, quand à l'EEG, zéro stress, les pointes-ondes, c'est pas difficile à voir, il n'y a que l'IRM qui stresse certaines personnes sensibles aux bruits bizarres (pas moi).
Pour qui je vote ? pour l'Institut du Cerveau et de la Moelle. Mais les délais de cet hôpital de Neuilly sont tout simplement bluffants = 24 h d'attente au grand max !
Quant à apprendre où (et comment) mettre les électrodes intégrées sur le crâne, je souhaite "BON COURAGE". aux néophytes = c'est que c'est un métier ! je sais bien qu'il faut diminuer les déficits publics... je vais aller me renseigner par moi-même, mais continuerai à faire faire les EEG par ce technicien avec lequel j'ai les ondes, dans cet hôpital de Neuilly... j'imagine la mère qui tente de calmer son gamin pendant qu'elle lui pose toutes les électrodes sur la tête au bon endroit... voilà qui promet... les voisins vont demander pitié !
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rochambeau
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et vous, @Yasmine19 vous vous imaginez positionner les électrodes sur votre crâne, pile au bon endroit, sans l'avoir jamais fait de votre vie ? c'est comme les magasins qui suppriment leurs caissières, et on doit tout enregistrer soi-même sur une machine = je mets trois fois plus de temps que la caissière, je cherche les codes-barres de partout, sauf au bon endroit... et maintenant, avec ce fameux virus, quand il y a une caissière, les clients doivent respecter une distance d'1,5 m...
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Louise
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Louise
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Afin d’améliorer le suivi et le diagnostic de l’épilepsie, la start-up BioSerenity, incubée au sein de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière de Paris, a développé des vêtements connectés capables d’enregistrer l’électroencéphalogramme des patients à distance.
Crises de convulsion, absences, pertes de mémoire… Près de 50 millions de personnes dans le monde sont atteintes d’épilepsie. Afin d’améliorer le suivi et le diagnostic de cette maladie, la start-up française BioSerenity, incubée au sein de l’Institut du cerveau et de la moelle, à Paris, a conçu des vêtements connectés qui permettent d’enregistrer l’électroencéphalogramme des patients à distance.
Aujourd’hui, les personnes touchées peuvent attendre plusieurs années avant d’être diagnostiquées et recevoir le traitement approprié. Plusieurs semaines sont nécessaires pour obtenir un rendez-vous et les séances, une fois fixées, sont de courte durée. Les chances d’enregistrer une crise sont alors très faibles. Or, pour définir le bon traitement, il est nécessaire de recueillir les données de l’activité cérébrale au cours de celle-ci.
Des technos qui facilitent le diagnostic
Doté de 21 électrodes intégrées, le bonnet connecté de Bioserenity a été conçu en vue de mémoriser l’activité cérébrale du patient plusieurs jours d’affilée. « Il fonctionne avec un tee-shirt connecté, qui permet un examen multi-modal : recueil de l’activité cardiaque, musculaire et respiratoire, explique Pierre Frouin, fondateur et CEO de Bioserenity. Le dispositif médical, baptisé Neuronaute, comporte entre autres des capteurs d’électro-myogramme qui, lors d’une crise d’épilepsie, enregistrent les contractions musculaires. Ce système permet également de connaître la position du patient lors de la crise grâce aux accéléromètres ». Autant de renseignements qui facilitent l’interprétation par le médecin et donc le diagnostic.
Lavables trente fois, t-shirt et bonnet sont alimentés par une batterie rechargeable. Les données collectées sont stockées sur une carte mémoire intégrée. Elles sont ensuite transmises en bluetooth sur un hébergeur agréé de santé. Les médecins peuvent ainsi accéder aux données sur un Cloud médical à distance, disponible 7j/7J et 24h/24h. Le patient, de son côté, peut utiliser son application mobile pour lancer ou arrêter le système, saisir de nouvelles informations ou visualiser son historique.
En pilote à Lyon et Paris
« Le dispositif Neuronaute est actuellement en pilote hospitalier, à Lyon et Paris notamment », détaille Pierre Frouin. Quant à la plateforme de télé-expertise Serenity Medical Services-Neurophy, filiale de BioSerenity, validée en 2016 par l’ARS, elle est déjà déployée dans soixante hôpitaux.
L’entreprise, qui vient de clôturer une levée de fonds de 15 millions d’euros fin septembre, travaille également sur trois autres pathologies : le suivi des maladies cardiologiques, celui des grossesses et les troubles du sommeil.
Source : Industrie-Techno