Suspicion de la maladie de Lyme, des avis ?

@sicnarf J'ai finalement reçu votre message.

Je vous remercie d'abord du temps que vous m'avez consacré pour m'écrire.

En ce qui concerne l'aspect psychologique, en effet rien n'y fait, une maladie psychologique est une maladie difficile à soigner car elle n'existe pas tel qu'une maladie physique le peut. Mais il y a forcément une raison qui pousse mon cerveau à agir de la sorte, c'est pourquoi je me suis pencher sur Lyme, ayant été exposée.

Aussi concernant les extrasystoles, en effet les medecins ont toujours été unanime pour me dire qu'elles étaient anodines, mais encore la, je ne peux m'empêcher de chercher une raison.

Pour ce qui est de la spiritualité je crois en Dieu en ce qui me concerne je suis croyante donc je ne peux qu'acquiescer à votre message, même si parfois (souvent) appliquer ces paroles sont assez compliquées.

Bien à vous

Bonsoir Jennasarah
Il est 1H36 du matin et vu l'heure tardive ou matinale, je ne répondrai pas à votre message que je viens de lire. Il est l'heure d'aller me coucher et je vous ferai réponse demain. Je vous remercie pour votre correction de répondre à mes messages. J'y suis sensible. Pour vous permettre de me situer, je vous indique que je suis une personne de 88 ans, bon pied, bon oeil, accompagné par Suzanne que j'appelle familièrement Tototinette pour des raisons que je vous dévoilerai demain. Bonne nuit à vous et toutes mes amitiés

@jennasaraBonsoir Jennasarah
Il est 1H36 du matin et vu l'heure tardive ou matinale, je ne répondrai pas à votre réponse maintenant mais demain. Là, il est l'heure pour moi d'aller me coucher. Je vous remercie pour votre correction et gentillesse d'avoir fait réponse à mon envoi. J'apprécie. Bonne nuit donc et toutes mes amitiés Sicnarf

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@jennasarah Bonjour jennasarah
je vous ai promis de me manifester hier et je ne l'ai pas fait. Et même aujourd'hui, je mets du temps comme vous le voyez. Je suis un homme de parole, sur qui on peut toujours compter, mais il arrive que je me fasse languir. En fait, j'ai lu pendant presque 48 heures 2 livres de Boris Cyrulnik, et quand je fais quelque chose, passionné,, je n'arrête pas. Je m'intéresse énormément à tout ce qui est psychologique, cherchant à comprendre les causes des souffrances de mon prochain , pour pouvoir éventuellement donner un petit coup de main sous la forme d'un conseil, sans assistanat.
Boris Cyrulnik a vécu une existence hors du commun et je voulais en savoir plus sur ses réflexions et voir s'il pouvait m'apporter un tout petit plus. J'ai terminé cette lecture et je suis donc à vous.
Vous me dîtes qu'une maladie psychologique est dure à soigner. Certainement. Mais souvent, le malade ne trouve pas la bonne personne qui peut, par son écoute, sa disponibilité, réussir à faire ce que personne d'autre n'a réussi. Il y a des gens limités au possible, négatifs, additifs,auquel plus personne ne croyait en la possibilité de guérison et qui ont réussi l'impensable, tout simplement parce qu'ils sont trouvé sur leur chemin, celui ou celle, en qui ils ont réellement pu avoir
confiance. Des personnes bien intentionnées ne manquent pas, mais la bonne intention n'est pas toujours suffisante. Il faut qu'un déclic puisse se faire et ce déclic là dépend de certaines circonstances. Bien entendu, vos symptômes physiques ont comme causes des traumatismes moraux. La connaissance de ces traumatismes ne suffira pas à libérer les émotions, à cicatriser des plaies vives. Il faut bien plus que cela
La foi en Dieu est aussi galvaudée. Une foule importante de personnes pensent croire, mais la foi véritable qui accomplit des miracles n'est pas celle du commun des mortels, dont la foi cohabite avec le doute. Vos désirs de vous en sortir ont comme répondant mon propre désir de m'améliorer, car qui que nous soyons, riches ou pauvres, nous avons tous des limites. L'argent ne fait pas le bonheur et son absence non plus.
La cause de la souffrance des hommes provient essentiellement de la non acceptation de leur sort, de la réalité telle qu'elle est. Il nous faut donc, vous et moi apprendre à accepter notre réalité, aussi cruelle qu'elle soit. J'ai une bonne santé, je suis accompagné, j'ai tout pour être heureux, mais je ne suis pas content de ce que je suis: pas assez ordonné, pas assez conscient de mes faits et gestes, parfois trop nerveux. Je, vous, devons apprendre à aimer ce que nous sommes, ce que nous vivons, sans nous juger et si nous nous jugeons quand même, accepter dans un premier temps ce jugement. Je n'en écrirai pas plus aujourd'hui. Nous pourrons, si vous le voulez, nous étendre sur ce thème et l'approfondir. Bonne fin de soirée à vous et recevez mes amitiés Sicnarf