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Des scientifiques travaillent sur un test sanguin qui permettrait de dépister les tumeurs cancéreuses
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Hookette
Membre AmbassadeurBon conseiller
Hookette
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 21/11/2024 à 20:37
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Que de progrès sur cette maladie, mais il reste beaucoup à faire
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MC - 💕 Nous avons des merveilles à échanger - 💕
CISSIA
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CISSIA
Dernière activité le 03/11/2024 à 09:07
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bonjour
d après ce que je comprends
ces tests ont éte effectués sur des personnes déja atteintes d un cancer et les résultats semblent plus précis quand l affection est au stade 2 voire 3 mais pas de possibilité de faire une prévention??il existe beaucoup de maladies "rares " pour lesquelles il serait nécessaire de faire des tests ADN cela ne semble pas etre prioritaire pourquoi??estce trop couteux ??estce une question de moralité??d éthique?car pour faire une ananlyse sur notre ADN il faut signer un protocole et donner son accord;
il faut néanmoins faire avancer la recherche et surtout la prévention
CORDIALEMENT
CISSIA
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CISSIA
larageuse
larageuse
Dernière activité le 05/04/2022 à 22:19
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Ami
Moi je trouve inadmissible qu'il n'y ai aucune prévention sur le cancer des ovaires qui est le plus meurtrier!
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julieno
maritima
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maritima
Dernière activité le 21/11/2024 à 23:07
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C'est que @larageuse
la prévention contre ce cancer est difficile malgré les efforts des chercheurs. L'échographie peut aider, la biopsie ( mais c'est un acte chirurgical) ou encore le test CA-125 ( à utiliser avec finesse car il est surtout utilisé quand le cancer est là). En fait, c'est à la femme d'être sensible aux signaux d'alerte.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
GIGI
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GIGI
Dernière activité le 21/11/2024 à 23:07
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Ami
Ma soeur a eu un cancer de l'ovaire avec récidive 8 ans après. Nous avons le même Gynécologue et celui-ci après un coup de fil (en ma présence) à un grand Professeur de Paris m'a dit que pour la prévention on s'en tenait à l'échographie annuelle ce qui ne me rassure absolument pas sachant que la tumeur peut se développer peu de temps après le contrôle et prendre rapidement la proportion d'un pamplemousse. Le test CA-125 m'a été refusé pour la raison que tu évoques @maritima.
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Pour beaucoup de cancers, plus le diagnostic est fait tôt, moins les traitements sont lourds et meilleures sont les chances de guérison. Comme le précise l'institut national du cancer (Inca), l’intérêt du diagnostic précoce est ainsi de mieux soigner, mais aussi de limiter les séquelles liées à certains traitements. C'est dans ce but que des chercheurs du Johns Hopkins Kimmel Cancer Center rapportent avoir développé un test sanguin permettant de détecter à un stade précoce les cas de cancer colorectal, du sein, du poumon et de l'ovaire.
Cet examen est basé sur l'analyse de petites quantités d'ADN spécifique à chaque cancer dans le sang, libéré par la tumeur. "Cette étude montre que l'identification du cancer par l'utilisation précoce des changements d'ADN dans le sang est faisable et que notre méthode de séquençage de haute précision est une approche prometteuse pour atteindre cet objectif.", explique le Pr Victor Velculescu du Johns Hopkins Kimmel Cancer Center.
Ce type de tests sanguins sont de plus en plus développés dans le cadre de l'oncologie clinique, mais ces derniers restent souvent dans les premiers stades de développement. Ce nouveau test a de spécifique le fait qu'il repose sur une nouvelle technique de séquençage de l'ADN: il se base directement sur les vraies mutations dérivées de la tumeur et non sur les biomarqueurs sanguins.
Jusqu'à 93% d'efficacité
"Le but a été de développer une analyse de sang qui pourrait prédire un cancer potentiel sans connaître les mutations génétiques dans la tumeur du patient.", ajoute le Pr Victor Velculescu. Les chercheurs avaient par ailleurs comme objectif le développement d'un test de dépistage très précis tout en réduisant le risque de "faux positifs", qui conduisent souvent à des traitements excessifs.
Pour mesurer son efficacité, ils ont obtenu des échantillons de sang de 200 patients atteints de cancer du sein, des poumons, des ovaires et du cancer colorectal. A partir de ces échantillons, le test a recherché la présence de mutations à l'intérieur de 58 gènes largement liés à l'apparition de différents cancers. Les résultats ont montré que le test a permis de détecter 62% cas de cancers aux stades 1 et 2.
Chez les 42 personnes atteintes de cancer colorectal, le test prédisait correctement le cancer dans 50% des cas au stade I, 89% des cas stade II, 90% des cas au stade III et 93% des cas avec une maladie au stade IV. Sur les 71 personnes cas de cancer du poumon, le test a identifié le cancer parmi 13 des 29 patients avec une maladie de stade I, 23 personnes sur 32 au stade II, trois personnes sur quatre au stade III et cinq personnes sur six au stade IV.
Un test utile pour les mutations BRCA1 et BRCA2.
Les résultats les plus probants concernaient le cancer de l'ovaire, avec un taux de 67% des cas détectés au stade 1 et de 75% au stade 2 et 3 de la maladie. Indépendamment de cette expérience, les chercheurs ont procédé à un séquençage génomique sur des tumeurs enlevées chez 100 de ces 200 patients atteints de cancer et ont constaté que 82% d'entre eux présentaient des mutations dans leurs tumeurs qui étaient en corrélation avec les altérations génétiques trouvées dans le sang.
A l'inverse, aucune des mutations dérivées d'un cancer n'a été trouvé dans des échantillons de sang d'un groupe témoin de 44 personnes en bonne santé. Mais malgré ces résultats prometteurs, les chercheurs font savoir que leur test sanguin doit être validé avec des études comprenant un plus grand nombre de personnes. "Nous essayons de trouver l'aiguille dans la meule de foin, alors lorsque nous trouvons une altération de l'ADN, nous voulons nous assurer que c'est bien ce que nous pensons.", affirme le Pr Velculescu.
Ce dernier estime qu'à terme, les populations qui pourraient le plus bénéficier d'un tel test de dépistage sont les personnes à haut risque de cancer comme les fumeurs, pour lesquels la tomodensitométrie (scanner thoracique), le test de dépistage standard pour l'identification du cancer du poumon, entraîne souvent des faux positifs et les femmes qui présentent des mutations héréditaires dans les gènes BRCA1 et BRCA2 pour le cancer des seins et des ovaires.
Source : http://www.santemagazine.fr/