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Carmat : un premier cœur artificiel implanté au Kazakhstan
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Utilisateur désinscrit
J'en pense que c'est bien , bien mieux que les greffes , par contre , ce serait bien que ce cœur soit accessible par son porteur ,car a chaque fois , les soucis se poses dans le fonctionnement , si le principal du moteur était porté en bandoulière , facilement réparable et que le reste serait interne , en faite , juste ce qui fait les contractures , je suis sur qu'il y aurait moins de morts après pose .
maritima
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maritima
Dernière activité le 21/11/2024 à 23:07
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Je pencherais plutôt pour une avancée technologique, réservant les opérations d'apprenti-sorcier à d'autres domaines de la médecine.
Pour mémoire les patients décédés étaient, de toute façons, médicalement condamnés et ce coeur artificiel leur ouvrait une porte.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
Oui , je savais ça , @maritima , mais s'il pouvait accéder au réparations de base , sans passer par une nouvelle opération , il y aurait presque 100 pour 100 de survie s'ils allaient assez vite , donc si c'était moi qui aurait construit cette machine , je me serais un peu basé sur un tensiomètre de bras avec moteur extérieur et pulsations intérieur, vous voyez l'image un peu comme le tensiomètre avec son fil et son brassard , comme ça , après une formation , ils seraient en mesure de réparer en famille si quelque chose n'allait pas .
Bien sur il y aurait sans doute une partie un peu visible , mais a la vitesse ou va le progrès, a en rien de temps ce serait quoi? Une carte mère ou une puce , je ne comprends pas qu'ils n'y aient pas penser les chercheurs , j'aimerais les contacter , c'est une évidence.
Je sais que les patients étaient de toutes façons condamné , mais , ce serait facile a améliorer , avec des chances de vies très grandes .
Parfois , ça me fait mal de n’être rien car la , je suis sur de tenir la solution pour que ça fonctionne presque toujours
maritima
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maritima
Dernière activité le 21/11/2024 à 23:07
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Je vous suis @Eauclair mais en fait, connaissons- nous toutes les raisons des défaillances techniques des essais précédents? Pas sûr.....
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
Pas du tout c'est sur @maritima , comme pour tout en faite , j'utilise téléphone et autres voitures etc , sans savoir si c'est programmé pour s'user tôt, ou si les pannes sont vraiment des pannes .
Tout ce qui est fait par un humain aura obligatoirement quelque chose , quelque part , qui ne fonctionnera pas
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Louise
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Louise
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Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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L’entreprise française a annoncé avoir débuté un essai clinique au Kazakhstan. En France, les essais ont repris après avoir été suspendus pendant six mois.
Lundi 23 octobre, Carmat a annoncé avoir réalisé la première implantation de son cœur artificiel à l’étranger dans le cadre de ses essais cliniques chez l’homme (« l’étude Pivot »). L’intervention, dont la date n’est pas précisée par l’entreprise française, s’est déroulée au National Research Center for Cardiac Surgery d’Astana, au Kazakhstan.
Carmat avait annoncé le 5 octobre avoir reçu l’autorisation de procéder à des implantations au Kazakhstan, qu’elle avait présenté comme un « pays leader dans les études de dispositifs cardiaques destinés au marché européen ». « L’objectif de l’étude, qui devrait inclure au total une vingtaine de patients souffrant d’insuffisance cardiaque bi ventriculaire avancée, est d’évaluer la sécurité et les performances du système », indique la société française, qui souhaite apporter au moins cinq ans d’espérance de vie à des malades considérés comme étant en phase terminale.
Carmat ajoute qu’elle ne fera pas de communication sur les implantations individuellement mais qu’elle fournira durant l’étude des informations sur l’ouverture de nouveaux centres et sur l’avancement général du recrutement de son étude.
L’entreprise française n’avait jusqu’ici réalisé des implantations de son cœur artificel qu’en France. Pour la première fois dans le monde, Carmat avait implanté en 2013 un cœur artificiel destiné à rester définitivement, et non pas dans l’attente d’une greffe. Mais le premier patient mourut soixante-quinze jours après l’opération. Puis, quatre essais suivirent, tous se soldant par la mort des patients.
En raison de ces échecs, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) avait exigé de nouvelles garanties de sécurité à la suite de la mort du premier patient, due à une mauvaise manipulation des batteries du dispositif. Carmat a pu reprendre ses essais cliniques en mai, après six mois de suspension.
Source : Le Figaro Santé et Le Monde
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