L’alimentation et les régimes pour guérir ?

TEST

Résultats de tests de glycémie blé vs flocons d'avoine :

2 tranches de pain complet :
45 minutes après consommation : pic de glycémie variant rapidement de 86 à 155

1 bol de flocons d'avoine (quantité de glucides identique à 2 tranches de pain complet)
45 minutes après consommation : pic de glycémie variant rapidement de 86 à 112

à vous de jouer

bonne santé

@aquarella‍ y a pas de miracles avec l'épilepsie... je connais beaucoup trop de gens qui ont diminué lentement leur traitement sous l'encadrement de leur neurologue... ZÉRO crise pendant une dizaine d'années, et puis soudain "BOUM", rebelote ! sinon, il faut porter un stimulateur du nerf vague (VNS) ou bien, ne pas être pressé pour être opéré, vu qu'il y en a pour 15 ans d'attente, et encore, on a fait des progrès, vu qu'avant, c'était 17 ans ! pour être opéré, il faut que la zone épileptogène soit dans un endroit opérable, c'est-à-dire que vu qu'on l'enlève définitivement, que ça ne soit pas la zone du goût ou de l'odorat, pas exemple. Lorsqu'on m'a opérée en Allemagne en 2011, pour ce traumatisme crânio-cérébral grave, j'aurais dû perdre les 2, mais non, je suis juste sortie du coma en ne parlant plus que l'anglais, et en ayant le plus grand mal à ré-apprendre les tables de multiplication. Franchement @aquarella‍ qu'est-ce que j'ai à gagner à garder le statut de "travailleur handicapé", si ce n'est que ça me rend difficilement licenciable... mais ce traitement fatigue tellement, que je ne peux plus travailler qu'à temps partiel, et que je dois éviter les émotions fortes et les contrariétés, sinon, ça pourrait déclencher une crise. Plus question de travailler de nuit ni de faire le forcing le we, heureusement que mes collègues m'ont connue avant cet accident, toujours "au taquet", et après être devenue épileptique. Je n'ai plus le droit de piloter d'avion, mais je peut quand même faire du vol à voile, et "piloter comme un oiseau", c'est TRÈS instructif, mine de rien, vu que ça sert à pouvoir faire atterrir un avion de ligne en cas de grosse panne.

Cherchez l'erreur !

Donner de l'insuline aux diabétiques de type 2, tout en les encourageant à manger des céréales, des pâtes, des pommes de terre qui envoient leur glycémie au plafond.  

« Patient, avale et tais toi »

Témoignage :

Pendant longtemps, j’ai eu la chance de ne pas avoir affaire au système de santé.

Surtout, je faisais toute confiance aux médecins, à leur science, à leur blouse blanche, à leur diplôme de la faculté affiché dans leur bureau ou joliment gravé sur leur feuille d’ordonnance.

Pour vous dire la vérité, ils m’impressionnaient aussi pas mal et je n’étais pas du genre à discuter leur décision.

Mais un jour en accompagnant un ami gravement malade, je me suis heurté à la réalité de ce « système » de soin. Celui où le patient n’est qu’un numéro, qui doit se contenter de faire ce qu’on lui dit, d’avaler les pilules qu’on lui a prescrit et de ne jamais discuter ce qui est bon pour lui ou pas. Non mais vraiment, qui est-il pour cela ?

D’hôpitaux en maison de repos, j’ai découvert une médecine mécanique, indifférente aux hommes qu’elle est censée soignée. Une médecine qui reçoit les malades comme le garagiste réceptionne une voiture.

Un chiffre résume à lui seul cette situation, si quelqu’un en doute :

16, comme dans : « 16 secondes… »

D’après une étude, c’est le temps de parole qu’un médecin accorde en moyenne à un patient qui arrive dans son cabinet pour parler du problème qui le préoccupe.

16 secondes, y compris le temps de vous asseoir et de poser votre veste sur le dos de la chaise, avant que le médecin ne vous coupe la parole !

Si dans ce minuscule laps de temps :
vous ne parvenez pas à vous exprimer clairement sur votre mal,

vous butez sur un mot,

vous hésitez sur la façon de dire les choses,

Alors les conséquences pour votre vie peuvent être graves.

Car après ces 16 secondes, il est probable que votre médecin ne vous écoutera plus du tout.

Le reste de la consultation, il la fera à partir de son analyse, son expérience des maladies et des patients, son humeur, ses souvenirs d’étudiant qui remontent parfois à plusieurs dizaines d’années…

En d’autres termes, il ne prendra pas du tout en considération ce que vous aurez à lui dire.

Votre mal de dos ? Forcément « rien de grave », il en aura vu dix autres dans la semaine. Les insomnies qui vous épuisent ? « Un stress passager »…Vous lui suggérez qu’il existe une plante efficace contre l’arthrose? « Pffff… ! »

Cette situation n’est pas récente mais elle s’est aggravée. La même étude il y a quelques années montrait que les médecins écoutaient leur patient pendant…18 secondes, avant de leur couper la parole.

Et dans cinq ans ? Sera-t-on tombé à 12 secondes ?

La vérité est que les patients ont perdu la bataille de la légitimité.

Leur avis ne compte plus, ils n’ont plus le droit à la parole ! C’est pourtant de leur santé dont il s’agit.

@gégé57‍     votre message de 14h33   !!!!!!!  un concentré de contre-vérités et surtout un mot grave  " encourager". Je n'ai jamais connu de diabétos ou de généralistes encourageant les diabétiques à manger ce que vous dites. Le sens des nuances ou des mots ne semble pas vous préoccuper beaucoup.