Que penser du coronavirus ?

Pour ceux qui voulaient tenir le pari au sujet du délai raccourci entre 2 doses... j'ai gagné !!

Plus sérieusement, j'avais écrit il y a 3 jours:  "Je ne sais pas si d'autres personnes seront de mon avis, mais je sens venir le moment où on nous dira que la 2ème dose n'agit même pas durant 6 mois, et qu'une 3ème est préconisée avant les 6 mois actuels... on fait le pari ?"

Le pari était une boutade, mais il ne s'est pas passé une semaine qu'on y est... la 3ème dose peut se faire 5 mois après la 2ème. Et voilà le délai entre les 2 doses raccourci ! La raison n'est pas très scientifique puisqu'elle porte sur l'évitement de l'engorgement des hôpitaux.

Alors que va-t-il se passer ?

L'immunité des gens va être sur-stimulée, avant même que l'efficacité de la 2ème dose ait bien diminué ? Dans ce cas, on pourrait craindre l'apparition augmentée de maladies auto-immunes dans un avenir prochain.

Si on entend plutôt dire que l'efficacité de la 2ème dose avait finalement considérablement baissé au bout de 5 mois pour justifier une 3ème dose à ce moment-là, on pourra se poser des questions sur la valeur de ce vaccin qui n'est décidément pas efficace bien longtemps.

Et on entendra peut-être dire que cette fois, après la 3ème dose, l'immunité durera bien plus longtemps, 1 an peut-être... mais rien n'est moins sûr, puisque depuis le début, depuis la 1ère dose, le délai entre les doses a chaque fois été raccourci. Combien de personnes seront prêtes à se faire vacciner contre la même maladie 3 ou 4 fois par an ?

Quant à l'obsession des études, comme une étude chasse vite l'autre, elle risque de rapidement lasser.

@chatdoc‍  Votre 17h06 - Toujours des propos faux ! Mais toujours aussi un semblant de  

@bibimet75 

Ba ,,, Ba ... Ba ... Ba ... Ba ... Ba ... Ba ... Ba ... ..   . 

 message de 20 h 

"L'immunité des gens va donc être stimulée à outrance, avant même que l'efficacité de la 2ème dose ait bien diminué. Dans ce cas, on pourrait craindre l'apparition augmentée de maladies auto-immunes dans un avenir prochain. "    
                                                        c'est FAUX !!!!!!
                                             
Est-ce qu'on peut avoir trop d'anticorps après la 3e dose ?

Pr Elisabeth Botelho-Nevers : Non. Le rappel de vaccin est un boost. Si vous avez des anticorps, c'est très bien, ça va les conforter et les faire monter ce qui n'est pas gênant en soi. Il n'y aura pas "d'explosion" d'anticorps.
 
 
N'y-a-t-il pas de risque de surcharge immunitaire avec une 3e dose ?

Pr Elisabeth Botelho-Nevers : Non, il n'y a pas de danger à faire une dose de rappel.

Rebooster son immunité n'est pas gênant. Soit vous avez encore des anticorps et vous serez d'autant mieux protégé contre une réinfection. Soit votre taux est un peu bas ou vos anticorps ne sont pas efficaces et ce boost va vous protéger.
Pr Elisabeth Botelho-Nevers,    Chef de service Infectiologie au CHU de Saint-Etienne. 17 /11 /21  /Journal des femmes Santé

Sinon  l'obsession des études  pour apprendre toujours plus  sur ce virus multifacettes n'a pas l'air, en effet d'être votre souci premier    @bibimet75‍ 

@maritima vous citez longuement cette personne, mais demandez vous sur quelles bases elle peut bien affirmer cela : "Non, il n'y a pas de danger à faire une dose de rappel." Personne ne dispose des éléments pour l'affirmer, c'est une supposition et rien qu'une supposition, de même savoir si cette dose de rappel offrira une protection plus longue ou plus courte, personne n'est en mesure de l'affirmer.

Ce n'est pas par des études que l'on a trouvé la durée de protection de la deuxième injection, mais uniquement en observant les résultats des injections en pleine population, utilisée comme cobaye pour être précis. Ce sera pareil concernant la troisième injection, aussi avec des cobayes.

Seules des suppositions peuvent être affirmées, mais cela n'a vraiment aucun intéret.

@Philou75FR   

Une phrase même bien construite,  peut avoir une signification dépendante du contexte.

Vous pouvez constater que de nombreux pays européens ont de nouveau pris des mesures restrictives et que, du fait de la vaccination de 90% des plus de 12 ans en France,  il est possible d’être assez attentiste. Cependant,  des changements pourraient survenir avant Noël,  comme le confinement, pouvant avoir des répercussions générales 

Si le nombre de vaccinés étaient plus important,  nous serions plus sereins,  les services d’hospitalisation de réanimation dédiés seraient moins sous tension, certains étant à la limite de let capacité avec les conséquences que cela entraîne sur le reste des autres services. Et les trous dans la raquette sont pour une part majeure à l’origine de cette dégradation.  

L’adoption de la 3ème dose,  comme elle est associée à une augmentation très marquée et rapide ( en 48h) peut permettre de diminuer les effets de cette vague. En effet , les anticorps neutralisants , très élevés,  vont diminuer très sensiblement le risque d’être infecté et aussi le risque d’être alors transmetteur. 

Là encore moins il y aura de trous dans la raquette,  plus l’efficacité de la 3ème dose sera importante.  Et il est plus que probable que les non vaccinés participent à une efficacité moindre. 

Contrairement à ce que vous affirmez,  je peux entendre des idées différentes mais il vaut mieux qu’elles soient clairement exprimées et argumentees. Changer perpétuellement de sujets ne permet pas de les traiter clairement .

Maintenant libre à vous de discuter avec des personnes ayant des idées similaires  aux vôtres,  vous serez compris,  les questions seront rares et les arguments non nécessaires.

@Alain08‍    Un  chef de service en infectiologie  n'est pas sans connaissances  en  d'immunologie  : Cela vous aurait-il échappé?  Et .... il y a toujours des études préalables  quitte à ce qu'ensuite elles soient affinées quand elles se  poursuivent à l'échelon d'une population .
Une part de la médecine est  empirique Alain ! et ce n'est pas  non plus une science exacte dans la mesure où la vérité de demain ne correspondra pas forcement  à ce qu'elle est aujourd'hui .

 Quant au terme " cobaye" je vous en laisse la responsabilité ....... ou alors tout patient  à qui l'on donne un médicament qui vient d'être mis sur le marché,  en est un  car c'est l'usage en  masse  qui déterminera , in fine, la recevabilité du produit.   ( d'où l'introduction  de la notion de  SMR   et parfois le retrait du marché)

@Alain08  Je ne sais pas où elle a lu que je redoutais trop d'anticorps contre la Covid (?!), je pense plutôt à un dérèglement de l'immunité sur-sollicitée  (déjà 3 fois/an) alors que le corps a peut-être suffisamment d'anticorps contre la Covid (alors la 3ème dose est-elle si vite nécessaire ?). Mais bon, elle croit, en citant un médecin, donner un avis infaillible... alors que personne ne connaît les conséquences de cette vaccination intense.

@Philou75FR   En réponse à ton 18h29, je crois qu'il se prend pour un poisson avec ses onomatopées... (ou un bébé ?)  Cf. son 20h30 

@maritima Je ne met pas en doute ses compétences, mais sur l'ensemble des scientifiques actuellement en exercice, on observe qu'une partie est invitée largement par les télés, mais l'autre partie est décriée, comment déterminer les personnes sérieuses et les autres ? Je n'ai rien à dire sur Mme Elisabeth Botelho-Nevers c'est son expression que je me permet de critiquer, ce qui n'a rien de problématique.

La notion de cobaye est toute indiquée dans la situation que nous vivons, les différents produits en question sont tous en phase trois d'expérimentation, c'est qu'ils n'ont pas été complètement expérimentés, logiquement toutes les personnes qui en sont injectées devraient savoir qu'elles sont partie prenante de cette expérimentation, voilà la pratique en cours selon les normes scientifiques actuelles. En fait ce n'est pas comme cela que ça se passe, tout le monde est invité à se faire injecter ces produits, comme s'il n'y avait plus d'expérimentation, comme si les autorisations définitives de mise sur le marché avaient été délivrées. Vous savez que l'on en est pas encore là et que les AMM sont toujours conditionnelles et ne deviendront définitive qu'une fois la phase trois des essais terminée et les conclusions acceptées comme positives.

D'ou la bonne adaptation du terme cobaye aux personnes utilisées, à leur insu, dans ces phases trois de validation de ces produits.