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Médicaments à l’unité : l’expérimentation démarre sous les critiques
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mais bon,pas grave ,j aime toujours mon metier et le ferait jusqu au bout!!
Utilisateur désinscrit
Dis Cathy je te tends mon verre tu peux me mettre quelques gouttes pour dodo ?
Utilisateur désinscrit
pas de soucis,ton eau va etre toute bleue!!!il t en faut combien?mdr!!
Utilisateur désinscrit
ne confonds pas avec le bleu de méthylène ça ne soit pas être génial à boire lol
Utilisateur désinscrit
non c est le rivotril qui est bleu maintenant!!mdr!!!
Utilisateur désinscrit
arf j'ai plus le droit au rivotril moi, le seul médoc que je m'autorisai à prendre lol. Je me retrouve avec du Théralène qui fonctionne même pas grrr
pipit8457
Bon conseiller
pipit8457
Dernière activité le 09/12/2019 à 06:39
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Ami
Ah ! les médicaments, vaste problème. cette loi n'a pas de sens, les traitements sont vendus au mois qui compte 28 jours et non 30 ou 31, donc tous les 28 jours il faut retourner chez le médecin. Mais ça c'est pour les traitements de longue durée et pour les remèdes dit d'appoint (antibio anti-imflamatoire...) il est possible voir utile de les donner à l'unité.
je regrette leur façon de présenter les choses, les gens ne suivent pas un traitement pour le plaisir de prendre leur petite pilule tous les jours, c'est une obligation. si t'as pas ta morphine t'es franchement pas bien. Et je pense qu'on ne t'ordonne une prise d'un tel médicament ça n'est pas pour te faire plaisir. ils ont pondu quelque chose, ils sont heureux, ils resteront dans l'histoire. Faut pas qu'un jour tout ces pondeurs de lois ne soient malades, ils s'apercevraient de leur bétises. Il est vrai que la sécu n'est pas elle aussi, en forme. beaucoup de gachis, beaucoup de profits. il faut écrémé les comptes, et vérifier les adhérants à la cpam.
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julie kerespars
Utilisateur désinscrit
mocouk,en effet le theralene,c est rien par rapport au rivotril!!tu n as trouve personne pour t en prescrire?moi,c est le cad qui me le prescrit et pour le moment aucun souci!!
pipit,qd tu regardes bien ceux qui pondent des loie,generalement ne sont pas du tout ds le domaine concernes!!si seulement les lois sur les medoc etaient sorties par des med,des pharma ou des malades,ca serait tout a fait autre chose!!
mais bon,c est comme ca!il faut economiser sur tout maintenant et temp pis pour les malades.....on ne s en occupe pas!!
Utilisateur désinscrit
Cathy51, la seule toubib qui pouvait c'était la neurologue et tu sais ce que je pense d'elle et comment elle est ... Elle n'a pas voulu car bientôt ils ne pourront plus le prescrire pour la fibro et qu'elle ne veut pas que j'en devienne dépendante si c'est pour ne plus l'avoir après. Moi dépendante des médocs mdrrrrrrrrrr, c'est vrai que je prends des médocs tout le temps, je ne peux pas m'en passer tsssssss
Pipitt "si t'as pas ta morphine t'es franchement pas bien" je prends pas de morphine ni aucun autre médoc pour la douleur et je ne m'en sens que mieux
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Julien
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Julien
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Les premières critiques s’élèvent à la veille de l’expérimentation de la vente des médicaments à l’unité. Elles émanent surtout de syndicats de pharmaciens d’officine.
Délivrer des médicaments à l'unité pour éviter le gaspillage et une automédication dangereuse, l’expérience est lancée pour trois ans à compter de ce 1er avril dans 78 officines volontaires en Lorraine, Limousin et Paca. Dans le cadre de l’expérimentation prévue par la loi de financement de la sécurité sociale 2014 (LFSS 2014), 14 molécules pourront être dispensées à l’unité dans les pharmacies volontaires.
Des lacunes dans l’approche
Amoxicilline + acide clavulanique, céfotiam, lévoflaxacine… voici quelques noms des antibiotiques inclus dans l’expérimentation. Un projet d’ampleur qui suscite d’ores et déjà des critiques. Selon l’APM, le président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (Uspo), Gilles Bonnefond, a appelé les pharmaciens à ne pas se porter volontaire. Il a dénoncé lors du salon Pharmagora des conditions de rémunération insuffisantes (1 000€ pour la durée totale) et une tâche en-deçà de leurs compétences.
Le président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF), Philippe Gaertner, s’est montré plus modéré. « On ne peut pas lancer l’expérimentation en l’état », a-t-il affirmé à l’APM sans appeler au boycott.
« Un système semi-industriel »
Michel Caillaud, président de l’Union nationale des pharmacies de France (UNPF) a également accueilli l’expérimentation avec fraîcheur. Dans un entretien au JIM (lien abonnés), il reconnaît que la dispensation à l’unité « devrait éviter un certain gaspillage » mais pointe les limites de l’organisation : « un système semi-industriel avec un coût matériel et humain très élevé », la nécessité de « réduire la palette du prescripteurs » mais aussi une incertitude que cela améliorera l’observance des patients.
Selon Michel Caillaud, choisir les antibiotiques pour l’expérimentation n’est pas un choix pertinent : « Ce n’est évidemment pas cette classe médicamenteuse qu’il fallait choisir ! Le conditionnement des antibiotiques est déjà suffisamment varié pour répondre de manière adaptée aux prescriptions médicales ! » déclare-t-il.
La pertinence du dispositif était aussi mise en doute par le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens en novembre dernier. Sa présidente Isabelle Adenot interrogeait l’utilité de la dispensation à l’unité tout en soulignant les nombreuses questions restées en suspens.
http://www.pourquoidocteur.fr/Medicaments-a-l-unite---l-experimentation-demarre-sous-les-critiques-5985.html