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Et si nous avions certaines solutions mais que personne ne fait rien
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Utilisateur désinscrit
28/09/2017 à 00:49
Vous pouviez aussi envoyer ce courrier a la présidence de la République .
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venus1970
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venus1970
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arnaud akrich
27 septembre 2017 at 3 h 22 min
Votre commentaire est en attente de modération.
Monsieur Emmanuel Macron Président de La République Française.
Je suis une personne handicapée a 80%. J’ai actuellement en ma possession la solution a une grande partie de la crise que la France rencontre,que se soit pour l’emploi, pour le logement, pour le trou de la sécurité sociale, l’insertion des jeunes, l'activité des personnes âgées et moins âgées.
Ce projet est monté depuis 2006, les notaires qui l’ont enregistré a l’époque m’ont simplement offert l’enregistrement avec comme seule condition de ne jamais le laisser tomber.
Monsieur Delanoé m'avait demandé de le lui donner, cela était hors de question, ce projet allait créer mon emploi, me sortir de l'assistanat de ma pension d'invalidité puisque les entreprises ne voulaient pas m'embaucher.
Avec ce projet je créé mon emploi et des emplois pour un grand nombre de personnes en situations de handicaps comme pour des personnes valides dans biens des corps de metiers.
J’ai attendu depuis 2006 jusqu’a aujourd’hui, a ce jour c’est la France qui à besoin de ce projet, qu'elle le veuille ou non la France n’aura pas le choix car il existe un gros problème auquel elle n’est pas prête a faire face.
Mais ce problème est aussi l’une de ses chances pour sortir de la crise.
Je suis trés sérieux et les dirigeants a qui j’ai présenté mon projet au salon des PMEs en sont tout a fait conscients.
Soit je le monte en association chose que je serai obligé de faire si vous ou pas assez de gens me soutiennent, je vais mettre un très gros coup de pied dans la fourmilière du laxisme que traverse notre pays depuis des années. L’autre possibilité se sont des partenaires parmis lesquels l’état serait logiquement, le premier a venir.
Avec ce projet je vais et vous pouvez créer des emplois, des logements, occuper nos jeunes, donc faire baisser l’inactivité ainsi que la délinquance des jeunes,la violence,l'irrespect, les valoriser,relancer l’économie, faire circuler l'argent qui dort et prouver a vos citoyens que vous voulez trouver une solution pour notre beau pays La France.
Vous étes un banquier Monsieur le Président de la République Française, vous comprendrez trés vite en voyant ce projet que cela représente la relance de l’économie, créer des emplois pour tous vos citoyens, valides comme invalides, jeunes comme moins jeunes et va faire tourner a nouveau l’argent qui dort dans les banques.
Créer des emplois veut aussi dire, faire rentrer des impots, des transactions dans biens des corps de métiers.
Ce projet peut vous permettre de redorer l’image de la France face au reste du monde ainsi que la votre aux yeux de vos citoyens.
Sans oublier les banquiers, financiers qui lorsque je lancerai ce projet sous forme d'une association si je le fais sous ce statut se demanderont pourquoi l'état donc un grand banquier comme vous est passé a cotés de tant de finances.
J’étais aujourd’hui aux salon des PMEs, le nombre de personnes, banques,avocats, notaires, sponsors…. entreprises prétent a s’investir, dés que ce projet démarrera est assez impressionnant, j'en rencontre déjà demain.
Ce projet est titanesque, je ne pourrai pas le gérer seul malgrés mes expériences et mon savoir, je n’ai qu’un cerveau, un corps.
Si Monsieur le Président Macron vous ne voulez ou pouvez me donner quelques soutiens dites a certains de vos anciens confréres de me soutenir,trouvez moi donc des partenaires et des sponsors il y a un marché démesuré, des capitaux, pour eux comme pour l’état.
Si je le monte en association loi 1901 l’état ne pourra pas en profiter pour réduire le trou de son budget a part celui de la sécurité sociale mais je l’aurai fait sans vous, votre gouvernement n’en tirera donc aucune fierté et vos citoyens ne pourront dire que vous avez tenu vos promesses électorales.
Je ne suis pas un allumé ou un fou Monsieur le Président de la République Française, je suis un citoyen qui aime son beau Pays « La France », respecte ses anciens,comme les personnes handicapées autant que tous les autres citoyens de notre belle République Française.
Je peux créer des emplois, des logements, relancer l’économie….
Vous vous souviendrez de ce mail d’ici quelques temps, entre autre en 2024 et aprés, il existe une chose a laquelle la France n'est pas préte a faire face vous le savez aussi bien que moi.
Je comprends bien Monsieur le Président Emmanuel Macron que vous ne pouvez recevoir chacun des citoyens qui vous demandent une rencontre, vous devriez pourtant tenir compte de ce message et demander a un de vos conseillers de me contacter.
Souvenez vous Monsieur le président de la République Française Handicapée ne veut pas dire obligatoirement demeuré
Je profite de ce message pour vous féliciter de votre élection.
Je vous remercie pour l’attention qu vous porterez a mon message et me tiens a votre disposition Monsieur le Président de la République Française pour une rencontre a votre convenance avec l’un de vos conseillers.
PS : Il est 5h15 du matin, je n'ai pas encore dormi, je vous demanderez donc de m'excuser pour les fautes d'orthographe Monsieur le Président.
Arnaud AKRICH
VOICI CERTAINES DE VOS PROMESSES
Les six promesses d’Emmanuel Macron aux personnes handicapées
Publié le 11 mai 2017
inShare
1
Le candidat Emmanuel Macron a pris différents engagements sur la politique du handicap sur son site de campagne, dans des meetings ou lors du débat télévisé du second tour. Faire-face.fr a retenu six grandes promesses. Une feuille de route pour le futur président.
1 – « Nous porterons l’allocation adulte handicapé au-delà de 900 € par mois. »
Emmanuel Macron n’a pas précisé le calendrier de cette revalorisation. Mais il est probable qu’il adopte la même stratégie que Nicolas Sarkozy. Lors de la campagne pour les élections de 2007, le candidat de l’UMP s’était engagé à doper l’AAH de 25 %. Une promesse tenue en étirant cette augmentation sur la durée de son quinquennat.
Le coup de pouce promis par Emmanuel Macron – + 11 % minimum – restera modéré s’il est étalé sur cinq années. Sous la présidence Hollande, qui n’avait fait aucune annonce chiffrée sur le sujet, le montant de l’AAH a augmenté de 6,67 %.
2 – « Je ne veux plus de personnes en situation de handicap sans solution. »
Emmanuel Macron a fait un choix symbolique fort, lors du débat télévisé de l’entre-deux tours, le 3 mai. Il a choisi de consacrer sa carte blanche à la situation des personnes handicapées. Il s’est notamment engagé à ce qu’aucune ne se retrouve sans accompagnement ou sans place en établissement.
« Ce sera l’une des priorités de mon quinquennat parce qu’aujourd’hui, il y a des dizaines de milliers de personnes en situation de handicap qui sont sans solution », a-t-il martelé.
Pour résoudre ce problème, le gouvernement Valls a commencé à déployer, en 2015, une réponse accompagnée pour tous. Ce dispositif est censé permettre aux MDPH de proposer une solution immédiatement opérationnelle à chaque personne handicapée ayant besoin d’un accompagnement. Il doit être étendu à l’ensemble du territoire d’ici 2018.
Mais sa montée en puissance doit s’accompagner de la création de places en établissements et services. Le rythme actuel – 4 000 par an – est insuffisant pour combler rapidement le déficit, comme l’expliquait récemment faire-face.fr. « Je créerai les postes et les structures pour que les enfants, en particulier les jeunes autistes, n’aient plus à aller à l’étranger », a-t-il garanti.
3 – « Nous faciliterons la scolarisation des enfants handicapés. »
Emmanuel Macron s’est engagé à « donner accès à un(e) auxiliaire de vie scolaire (AVS) à tous les enfants en situation de handicap qui en ont besoin pour avoir une scolarité comme les autres ». Il promet donc de créer autant de postes d’AVS que nécessaires.
De plus, il veut « pérenniser ces emplois, les stabiliser ». Ce qui passe par « la mise au statut et la rémunération digne de ces professions », a-t-il annoncé, lors d’un meeting.
Le gouvernement Valls a créé en 2014 un nouveau statut d’accompagnant des élèves en situation de handicap (AESH). Les auxiliaires de vie scolaire accèdent à ce CDI de droit public, rémunéré 1 440 € brut pour un temps plein, après six années de CDD.
Emmanuel Macron va-t-il se contenter de poursuivre ce plan. Ou l’accélérer ? Voire titulariser comme fonctionnaires (« la mise au statut » ?) les quelque 50 000 emplois d’AVS et d’AESH équivalent temps plein déjà opérationnels. Cela serait étonnant puisqu’il a par ailleurs annoncé qu’il supprimerait 120 000 postes de fonctionnaires.
4 – « Nous améliorerons l’accès à l’emploi des personnes en situation de handicap. »
Près de 500 000 demandeurs d’emploi handicapés pointent aujourd’hui à Pôle emploi. Pour réduire leur nombre, Emmanuel Macron veut principalement agir sur deux volets : la formation et la lutte contre les discriminations.
« Nous introduirons une labellisation spécifique pour les formations qui leur sont destinées, tenant compte des débouchés professionnels. » Et « nous prévoirons un abondement public pour le compte personnel d’activité (CPA) des personnes handicapées », promet-il. L’État pourrait donc créditer leur CPA, le successeur du compte personnel de formation, d’heures supplémentaires de formation. Une priorité car 26 % des demandeurs d’emploi handicapés ont un niveau inférieur au CAP.
Pour lutter contre la discrimination, le nouveau président veut « développer des opérations de contrôles aléatoires et imprévus à grande échelle ». « Nous désignerons les entreprises fautives », poursuit-il.
5 – « Nous organiserons l’accessibilité autour de la personne. »
Les agendas d’accessibilité programmée, mis en place par le gouvernement Valls, engagent les gestionnaires de services de transport collectif et d’établissements recevant du public à mener à bien des travaux de mise aux normes d’ici 2018 à 2024, selon les cas. Emmanuel Macron veut « accompagner les collectivités locales ». Financièrement ? Il ne le précise pas. « Nous amplifierons les actions incitatives en faveur de l’accessibilité des cabinets médicaux », promet-il également.
Quant aux bailleurs sociaux, ils « devront proposer des solutions de relogement aux personnes handicapées et vieillissantes dont le logement social n’est plus adapté. Ou bien faire des travaux dans ces logements ».
6 – « Nous aiderons les aidants. »
Emmanuel Macron a pris plusieurs engagements en faveur des aidants. Certains très vagues : « Permettre aux aidants de mieux se former ou d’être accompagnés. » Tout juste précise-t-il qu’un chèque bilan santé/social leur sera proposé « au moment de la découverte du handicap et à période régulière ». D’autres – un peu – plus concrets : « Prendre en compte la situation des personnes aidantes dans le calcul de l’âge de départ à la retraite. » Franck Seuret
D’autres engagements mais rien sur la compensation
Pour connaître l’ensemble des engagements d’Emmanuel Macron, rendez-vous sur la page de son site de campagne consacré au handicap. Le candidat y annonce, entre autres, qu’il va instaurer « une sensibilisation systématique » au handicap dans les écoles, lancer « un plan d’évaluation des techniques et méthodes de prise en charge » des handicaps (rééducation, etc.) ou bien encore « définir de façon systématique des indicateurs d’inclusion pour chacune des politiques publiques menées ».
Un grand thème n’est pas du tout évoqué : la compensation du handicap et notamment les insuffisances de la prestation de compensation du handicap (PCH).Les six promesses d’Emmanuel Macron aux personnes handicapées
Publié le 11 mai 2017
inShare
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Le candidat Emmanuel Macron a pris différents engagements sur la politique du handicap sur son site de campagne, dans des meetings ou lors du débat télévisé du second tour. Faire-face.fr a retenu six grandes promesses. Une feuille de route pour le futur président.
1 – « Nous porterons l’allocation adulte handicapé au-delà de 900 € par mois. »
Emmanuel Macron n’a pas précisé le calendrier de cette revalorisation. Mais il est probable qu’il adopte la même stratégie que Nicolas Sarkozy. Lors de la campagne pour les élections de 2007, le candidat de l’UMP s’était engagé à doper l’AAH de 25 %. Une promesse tenue en étirant cette augmentation sur la durée de son quinquennat.
Le coup de pouce promis par Emmanuel Macron – + 11 % minimum – restera modéré s’il est étalé sur cinq années. Sous la présidence Hollande, qui n’avait fait aucune annonce chiffrée sur le sujet, le montant de l’AAH a augmenté de 6,67 %.
2 – « Je ne veux plus de personnes en situation de handicap sans solution. »
Emmanuel Macron a fait un choix symbolique fort, lors du débat télévisé de l’entre-deux tours, le 3 mai. Il a choisi de consacrer sa carte blanche à la situation des personnes handicapées. Il s’est notamment engagé à ce qu’aucune ne se retrouve sans accompagnement ou sans place en établissement.
« Ce sera l’une des priorités de mon quinquennat parce qu’aujourd’hui, il y a des dizaines de milliers de personnes en situation de handicap qui sont sans solution », a-t-il martelé.
Pour résoudre ce problème, le gouvernement Valls a commencé à déployer, en 2015, une réponse accompagnée pour tous. Ce dispositif est censé permettre aux MDPH de proposer une solution immédiatement opérationnelle à chaque personne handicapée ayant besoin d’un accompagnement. Il doit être étendu à l’ensemble du territoire d’ici 2018.
Mais sa montée en puissance doit s’accompagner de la création de places en établissements et services. Le rythme actuel – 4 000 par an – est insuffisant pour combler rapidement le déficit, comme l’expliquait récemment faire-face.fr. « Je créerai les postes et les structures pour que les enfants, en particulier les jeunes autistes, n’aient plus à aller à l’étranger », a-t-il garanti.
3 – « Nous faciliterons la scolarisation des enfants handicapés. »
Emmanuel Macron s’est engagé à « donner accès à un(e) auxiliaire de vie scolaire (AVS) à tous les enfants en situation de handicap qui en ont besoin pour avoir une scolarité comme les autres ». Il promet donc de créer autant de postes d’AVS que nécessaires.
De plus, il veut « pérenniser ces emplois, les stabiliser ». Ce qui passe par « la mise au statut et la rémunération digne de ces professions », a-t-il annoncé, lors d’un meeting.
Le gouvernement Valls a créé en 2014 un nouveau statut d’accompagnant des élèves en situation de handicap (AESH). Les auxiliaires de vie scolaire accèdent à ce CDI de droit public, rémunéré 1 440 € brut pour un temps plein, après six années de CDD.
Emmanuel Macron va-t-il se contenter de poursuivre ce plan. Ou l’accélérer ? Voire titulariser comme fonctionnaires (« la mise au statut » ?) les quelque 50 000 emplois d’AVS et d’AESH équivalent temps plein déjà opérationnels. Cela serait étonnant puisqu’il a par ailleurs annoncé qu’il supprimerait 120 000 postes de fonctionnaires.
4 – « Nous améliorerons l’accès à l’emploi des personnes en situation de handicap. »
Près de 500 000 demandeurs d’emploi handicapés pointent aujourd’hui à Pôle emploi. Pour réduire leur nombre, Emmanuel Macron veut principalement agir sur deux volets : la formation et la lutte contre les discriminations.
« Nous introduirons une labellisation spécifique pour les formations qui leur sont destinées, tenant compte des débouchés professionnels. » Et « nous prévoirons un abondement public pour le compte personnel d’activité (CPA) des personnes handicapées », promet-il. L’État pourrait donc créditer leur CPA, le successeur du compte personnel de formation, d’heures supplémentaires de formation. Une priorité car 26 % des demandeurs d’emploi handicapés ont un niveau inférieur au CAP.
Pour lutter contre la discrimination, le nouveau président veut « développer des opérations de contrôles aléatoires et imprévus à grande échelle ». « Nous désignerons les entreprises fautives », poursuit-il.
5 – « Nous organiserons l’accessibilité autour de la personne. »
Les agendas d’accessibilité programmée, mis en place par le gouvernement Valls, engagent les gestionnaires de services de transport collectif et d’établissements recevant du public à mener à bien des travaux de mise aux normes d’ici 2018 à 2024, selon les cas. Emmanuel Macron veut « accompagner les collectivités locales ». Financièrement ? Il ne le précise pas. « Nous amplifierons les actions incitatives en faveur de l’accessibilité des cabinets médicaux », promet-il également.
Quant aux bailleurs sociaux, ils « devront proposer des solutions de relogement aux personnes handicapées et vieillissantes dont le logement social n’est plus adapté. Ou bien faire des travaux dans ces logements ».
6 – « Nous aiderons les aidants. »
Emmanuel Macron a pris plusieurs engagements en faveur des aidants. Certains très vagues : « Permettre aux aidants de mieux se former ou d’être accompagnés. » Tout juste précise-t-il qu’un chèque bilan santé/social leur sera proposé « au moment de la découverte du handicap et à période régulière ». D’autres – un peu – plus concrets : « Prendre en compte la situation des personnes aidantes dans le calcul de l’âge de départ à la retraite. » Franck Seuret
D’autres engagements mais rien sur la compensation
Pour connaître l’ensemble des engagements d’Emmanuel Macron, rendez-vous sur la page de son site de campagne consacré au handicap. Le candidat y annonce, entre autres, qu’il va instaurer « une sensibilisation systématique » au handicap dans les écoles, lancer « un plan d’évaluation des techniques et méthodes de prise en charge » des handicaps (rééducation, etc.) ou bien encore « définir de façon systématique des indicateurs d’inclusion pour chacune des politiques publiques menées ».
Un grand thème n’est pas du tout évoqué : la compensation du handicap et notamment les insuffisances de la prestation de compensation du handicap (PCH).